Histoire de la recette
Le nom de « coquille Saint-Jacques » provient à l’origine des pèlerins de St Jacques de Compostelle, qui accrochaient à leur veste une coquille pour se reconnaître. Aujourd’hui, ce coquillage est très apprécié pour son goût fin et délicat. Il existe de nombreuses espèces, que l’on différencie grâce à plusieurs critères : provenance, période de pêche, aspect, couleur du corail… Certaines espèces sont issues de la pêche, d’autres sont produites en élevage. L’espèce reine est la Saint-Jacques Pecten maximus, que l’on trouve en Atlantique, dans la Manche et la mer du Nord. Dans le langage courant, la coquille Saint-Jacques est appelée noix une fois décoquillée. En réalité, ce mollusque est constitué de deux parties principales : le muscle et le corail. Le muscle est la partie noble de la Saint-Jacques que nous consommons, c’est la noix. C’est le muscle qui permet l’ouverture et la fermeture des coquilles. Le corail correspond à la glande génitale de la Saint-Jacques. Il est lui-même constitué de deux parties : l’une mâle (de couleur blanchâtre chez l’espèce Pecten maximus) et l’autre femelle (de couleur orangée chez cette même espèce). La Saint-Jacques est donc hermaphrodite.
Étapes
1 Fini | Mettre en mode dorer |
2 Fini | Faire "Dorer" dans le beurre l'oignon émincé, les crevettes et les noix de st jacques. |
3 Fini | Déglacer avec le vin blanc. |
4 Fini | Ajouter ensuite le bouillon et le riz |
5 Fini 15 min | Mettre en cuisson rapide |